témoignages

Paroles de praticienne

Le sommeil retrouvé 

Une femme d’une quarantaine d’année ayant des insomnies gravidiques depuis 7 ans arrive à dormir une vraie nuit de sommeil dès la première séance. Au bout de 4 séances, elle oublie complétement de prendre les somnifères qu’elle prend depuis plusieurs années. Au bout de 10 séances, elle s’endort en moins de 30s et n’a plus de réveils nocturnes. Elle précise aussi à quel point elle est heureuse de faire des rêves au lieu des nombreux cauchemars auxquels elle était habituée.

Un « A » en dictée

Une fillette de 6 ans présentant de grosses difficultés au CP est revenue avec un A en dictée au bout de 2 séances.

Le calme et la concentration

Une jeune fille toujours agitée, en mouvement, excitée, se pose et s’apaise dès la première séance. Elle est moins collée aux autres enfants et peut entrer en relation de façon plus calme. Elle arrive beaucoup mieux à se concentrer en classe et dans ses activités extrascolaires. Les effets sont devenus permanents au bout de 10 séances. Une très vive créativité a été repéré dans le domaine de l’écriture et de la musique.

L’écrivain inspiré 

Une écrivain a pu ressentir un changement majeur dans sa façon d’écrire ses livres pour enfants, comme si tout coulait de source, que les idées ne butaient plus. En sortant de chaque séance, il passait 3h à écrire un livre d’une traite en disant qu’il n’avait jamais aussi bien écrit.

L’accomplissement professionnel

Une femme toujours indécise et cherchant perpétuellement l’approbation de son entourage arrive subitement à savoir ce qu’elle veut et à dire non. Dès la première séance, elle ressent un changement majeur dans son rapport aux autres. Elle ne sent plus affectée par les critiques des autres. Elle a confiance en elle pour réussir dans son domaine et s’autorise à se lancer dans un nouveau projet.

Le sentiment de sécurité

Un bébé hypersensible aux séparations, présentant des troubles du sommeil et des douleurs multiples, a pu s’apaiser et se sentir en sécurité dès la 2ème séance. Après 6 séances il pouvait se séparer de sa mère sans pleurer. Au bout de 10 séances il a pu dormir seul dans son lit.

Paroles d’usagers

Mon expérience subjective est la suivante :
Après ma 1ère séance (faite le 12 octobre 2016) j’ai senti beaucoup plus de joie, d’entrain dans mes décisions et je suis devenu très productif intellectuellement.
Après ma 2ème séance (faite le 18/01/17), j’ai senti une augmentation de ma concentration, de mon argumentation intellectuelle, philosophique et psychologique et de mon état de sante. L’effet est permanent et dure depuis un an.
Je vous en remercie bien. Merci !

Dr W. Ott, 76 ans

Chirurgien Pédiatrique Allemand

 

Je témoigne ici pour partager mon expérience de neurofeedback du Printemps 2017.
Je souffrais depuis plusieurs années d’Allergie Chronique au pollens de platanes et de cypres, laquelle s’ aggravait à chaque nouvelle saison.
Nécessitant antihistaminiques et piqûre à la cortisone, lesquels ne suffisaient plus à stopper mes quintes de toux repetitives! et très handicapantes pour ma vie au quotidien.

Une amie m ‘a alors suggeré d’ essayer le NEUROFEEEDBACK.
Ce que j ‘ai entrepris en pleine periode de pollens de ce printemps 2017.

Dès ma première séance de Neurofeedback, j’ai constaté une nette baisse de fréquence et d’ intensité de mes quintes de toux.
Au bout de 3 séances, j’ai arrêté par moi-même de prendre les antihistaminiques quotidiens et constaté une baisse sensible, puis complète de mes réactions allergiques et en particulier de mes quintes de toux qui compliquaient fortement ma vie au quotidien.

Merci Perrine pour ton aide et merci au Neurofeedback,qui a permis à mon corps de s’ auto-réparer.
J ‘ai découvert avec le Neurofeedback, une méthode douce qui a permis au corps par le biais de notre cerveau,de mettre en place son propre mécanisme d’autorégulation et d’auto guérison.

J’espère que mon témoignage permettra a ceux ou celles qui souffrent de ce type de maux ou d’autres maux non résolus,à se décider avec confiance à essayer cette méthode douce et non invasive qu ‘est le NEUROFEEDBACK, car c’est une belle et enrichissante expérience.”

Christophe P, 60 ans

J’ai consulté Mme Jeangirard à une période où je ne savais plus vraiment ce que je voulais pour mon avenir et où il m’était difficile de faire des choix. Fille unique, mes parents m’avaient, en plus de cela, annoncé leur volonté de divorcer depuis quelques jours. J’avais l’impression d’être totalement perdue et de broyer du noir à longueur de journée. Je ressentis alors le besoin de livrer cette confusion, ce trop plein d’émotions.

                L’empathie et la bienveillance avec lesquelles Mme Jeangirard m’a reçue m’ont dans un premier temps permis de poser mes « valises émotionnelles » et de faire le point sur la situation dans laquelle je me trouvais. Le nuage noir qui obstruait mes pensées s’estompait déjà quelque peu. Elle m’a ensuite proposé de pratiquer le neurofeedback, technique qui m’était jusque-là inconnue et dont elle m’a expliqué le déroulement. A l’issue de cette séance de neurofeedback je me sentais un peu fatiguée mais aussi et surtout légère, comme si le nuage de pensées obscures que je broyais depuis des semaines s’était envolé.

                Les jours suivants, j’avais plus confiance en moi. J’arrivais à faire des choix et prendre des décisions là où j’étais bloquée auparavant. J’étais plus motivée pour mes activités quotidiennes et j’envisageais mon futur de façon positive.

                Aujourd’hui, je peux donc dire que cette unique séance de psychothérapie combinée à la technique de neurofeedback m’a permis de sortir de la torpeur dans laquelle je baignais depuis plusieurs semaines, d’améliorer mon sommeil, d’avoir plus confiance en moi et d’augmenter ma motivation au quotidien.

P, 24 ans

Paramédicale

“En 2016 cela faisait quatre ans que j’étais éjaculateur précoce. Je n’avais pas osé en parler à une sexologue, et je ne me voyais pas aller chez une psychologue pour ça… Je suis allé voir plusieurs praticiennes en Neurofeedback, cette technique présentant l’intérêt principal de ne pas être obligé de parler de ses problèmes pour qu’ils se règlent. J’ai fini par aller voir Perrine JEANGIRARD, qui s’était lancée à l’aventure, et le fait qu’elle soit psychologue apporte quand même un vrai plus : l’empathie et l’intérêt dont elle a fait preuve ont accéléré les choses. Le premier ressenti est que chacune de ses paroles bienveillantes n’est pas dite au hasard et qu’elles touchent juste. Cela assure une pérennité des effets des séances sur le long terme. Ce n’est qu’à la quatrième séance que j’ai vu les premiers effets : juste une sensation de mieux-être, au départ. Au fur et à mesure des séances je me suis libéré de toutes les émotions que j’avais enfouies et qui me restaient accrochées au cœur sans que j’en aie conscience. Un poids mort de boule de nerfs qui s’exacerbait à la moindre réflexion, à la moindre interrogation. Il y a donc des soirées où j’ai été pris d’intenses émotions, une colère inexpliquée, des larmes qui coulent sans s’arrêter sans raison apparente… Des émotions qui n’étaient que les dernières gouttes de barrages détruits et qui devaient finir de s’écouler.

Une des particularités du Neurofeedback est que les changements ne s’opèrent pas forcément là où on s’y attend. Je me souviens notamment d’un soir où j’étais dans les bras de mon amie, et je me suis rendu compte que je n’avais pas envie qu’elle se colle à moi, qu’elle me fasse de câlin. C’était une première pour moi, et je m’en rendais compte à ce moment-là : j’avais toujours eu, tout le temps, constamment besoin de câlins, de démonstration d’affection. Ce jour-là je me suis demandé si j’étais encore amoureux, puisque moi j’associais toujours l’envie de câlins au fait d’être amoureux. Je me suis rendu compte ce jour-là qu’effectivement j’étais « pot de colle », et que c’était fini. La séance d’après a rééquilibré la situation : j’étais passé de ‘pot de colle’ à ‘tu-me-touches-pas’ puis ‘j’aime tes câlins mais j’ai besoin de moments pour respirer’. Normal, quoi. Ce n’est qu’après que j’ai vu tout l’impact : j’étais perpétuellement en manque de contact physique, à tel point que je me disais qu’aucune de mes copines ne m’avais aimé puisque à un moment donné elles avaient toutes refusé un de mes innombrables câlins. Je ne me sentais pas aimé, et ma confiance en moi avait diminué, jusqu’au point où j’étais devenu précoce. En résumé. C’est sans doute beaucoup plus compliqué que ça.

Toujours est-il qu’à présent je me sens beaucoup plus confiant, en paix avec moi-même. « Droit dans mes baskets ». Je ne suis plus précoce, mais avec le recul je vois bien que ce n’était pas le plus important. Je m’assume en tant que ce que je suis, avec mes faiblesses et mes défauts. J’aime ce que je suis.

Christophe, 23 ans

Etudiant en masso-kinésithérapie